FACETS (May 2019)

Protecting biodiversity in British Columbia: Recommendations for developing species at risk legislation

  • Alana R. Westwood,
  • Sarah P. Otto,
  • Arne Mooers,
  • Chris Darimont,
  • Karen E. Hodges,
  • Chris Johnson,
  • Brian M. Starzomski,
  • Cole Burton,
  • Kai M.A. Chan,
  • Marco Festa-Bianchet,
  • Shaun Fluker,
  • Sumeet Gulati,
  • Aerin L. Jacob,
  • Dan Kraus,
  • Tara G. Martin,
  • Wendy J. Palen,
  • John D. Reynolds,
  • Jeannette Whitton

DOI
https://doi.org/10.1139/facets-2018-0042
Journal volume & issue
Vol. 4, no. 1
pp. 136 – 160

Abstract

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British Columbia has the greatest biological diversity of any province or territory in Canada. Yet increasing numbers of species in British Columbia are threatened with extinction. The current patchwork of provincial laws and regulations has not effectively prevented species declines. Recently, the Provincial Government has committed to enacting an endangered species law. Drawing upon our scientific and legal expertise, we offer recommendations for key features of endangered species legislation that build upon strengths and avoid weaknesses observed elsewhere. We recommend striking an independent Oversight Committee to provide recommendations about listing species, organize Recovery Teams, and monitor the efficacy of actions taken. Recovery Teams would evaluate and prioritize potential actions for individual species or groups of species that face common threats or live in a common area, based on best available evidence (including natural and social science and Indigenous Knowledge). Our recommendations focus on implementing an adaptive approach, with ongoing and transparent monitoring and reporting, to reduce delays between determining when a species is at risk and taking effective actions to save it. We urge lawmakers to include this strong evidentiary basis for species recovery as they tackle the scientific and socioeconomic challenges of building an effective species at risk Act. Au Canada, c’est en Colombie-Britannique que la biodiversité est la plus élevée. Pourtant, un nombre croissant de ces espèces sont menacées. L’actuel enchevêtrement de lois et de règlements provinciaux ne parvient pas à en prévenir le déclin. Récemment, le gouvernement provincial s’est engagé à adopter une loi sur les espèces en péril. En nous appuyant sur notre expertise légale et scientifique et sur les succès et échecs connus ailleurs, nous proposons les éléments clés que devrait présenter cette loi. Nous recommandons la formation d’un Comité indépendant de surveillance qui évaluera le statut des espèces, organisera les Équipes de rétablissement et estimera l’efficacité des mesures de protection adoptées. Les Équipes de rétablissement prioriseront les actions possibles pour chaque espèce ou groupe d’espèces subissant les mêmes menaces ou habitant la même région en s’appuyant sur les meilleures informations disponibles (sciences naturelles et sociales et savoirs autochtones). Nos recommandations visent à établir une approche adaptative, incluant un suivi régulier et transparent, afin de réduire les délais entre l’établissement du statut et la mise en œuvre d’actions de rétablissement. Nous exhortons les législateurs et législatrices à tenir compte de cette approche basée sur les éléments probants relatifs au rétablissement des espèces.

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