CJC Open (Dec 2021)

Use of Race, Ethnicity, and National Origin in Studies Assessing Cardiovascular Risk in Women With a History of Hypertensive Disorders of Pregnancy

  • Amy Johnston, MSc, CPH,
  • Victrine Tseung, PhD,
  • Sonia R. Dancey,
  • Sarah M. Visintini, MLIS,
  • Thais Coutinho, MD,
  • Jodi D. Edwards, PhD

Journal volume & issue
Vol. 3, no. 12
pp. S102 – S117

Abstract

Read online

Women with a history of hyperBtensive disorders of pregnancy (HDP) are at particularly high risk for cardiovascular disease (CVD) and CVD-related death, and certain racial and ethnic subpopulations are disproportionately affected by these conditions. We examined the use of race, ethnicity, and national origin in observational studies assessing CVD morbidity and mortality in women with a history of HDP. A total of 124 studies, published between 1976 and 2021, were reviewed. We found that white women were heavily overrepresented, encompassing 53% of all participants with HDP. There was limited and heterogeneous reporting of race and ethnicity information across studies and only 27 studies reported including race and/or ethnicity variables in at least 1 statistical analysis. Only 2 studies mentioned the use of these variables as a strength; several others (k = 18) reported a lack of diversity among participants as a study limitation. Just over half of included articles (k = 68) reported at least 1 sociodemographic variable other than race and ethnicity (eg, marital status and income); however, none investigated how they might have worked synergistically or antagonistically with race and/or ethnicity to influence participants’ risk of CVD. These findings highlight significant areas for improvement in cardiovascular obstetrics research, including the need for more robust and standardized methods for collecting, reporting, and using sociodemographic information. Future studies of CVD risk in women with a history of HDP should explicitly examine racial and ethnic differences and use an intersectional approach. Résumé: Les femmes ayant des antécédents de troubles hypertensifs de la grossesse (THG) présentent un risque particulièrement élevé de maladies cardiovasculaires (MCV) et de décès liés à ces dernières, et certaines sous-populations raciales et ethniques sont touchées de manière disproportionnée par ces maladies. Nous avons examiné l’utilisation de la race, de l’ethnicité et de l’origine nationale dans les études observationnelles évaluant la morbidité et la mortalité liées aux MCV chez les femmes ayant des antécédents de THG. Un total de 124 études, publiées entre 1976 et 2021, ont été examinées. Nous avons constaté que les femmes blanches étaient fortement surreprésentées, puisqu’elles constituaient 53 % de l’ensemble des participantes atteintes de THG. Les renseignements relatifs à la race et à l’ethnicité étaient limités et hétérogènes d’une étude à l’autre, et seules 27 études ont indiqué avoir tenu compte de variables relatives à la race ou à l’ethnicité dans au moins une analyse statistique. Seules deux études ont mentionné l’utilisation de ces variables comme un point fort; plusieurs autres (k = 18) ont signalé un manque de diversité parmi les participantes comme une limite de l’étude. Un peu plus de la moitié des articles inclus (k = 68) ont fait état d’au moins une variable sociodémographique autre que la race et l’ethnicité (p. ex., l’état matrimonial et le revenu); aucun toutefois n’a étudié la manière dont ces variables auraient pu agir en synergie ou en opposition avec la race ou l’ethnicité pour influencer le risque de MCV des participantes. Ces résultats mettent en évidence des points importants à améliorer dans la recherche sur l’obstétrique cardiovasculaire, notamment la nécessité de méthodes plus fiables et normalisées en matière de collecte, de communication et d’utilisation des données sociodémographiques. Les prochaines études sur le risque de MCV chez les femmes ayant des antécédents de THG devraient examiner explicitement les différences raciales et ethniques et adopter une approche intersectionnelle.