CJC Open (Feb 2024)

Leadless Pacemaker Implantation, Focusing on Patients With Conduction System Disorders Post–Transcatheter Aortic Valve Replacement: A Retrospective Analysis

  • Julius Jelisejevas, MD,
  • François Regoli, MD,
  • Daniel Hofer, MD,
  • Giulio Conte, MD,
  • Tardu Oezkartal, MD,
  • Ardan M. Saguner, MD,
  • Maria Luce Caputo, MD,
  • Lorenzo Grazioli, MD,
  • Jan Steffel, MD,
  • Angelo Auricchio, MD,
  • Alexander Breitenstein, MD

Journal volume & issue
Vol. 6, no. 2
pp. 96 – 103

Abstract

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Background: Impairment of the conduction system is a common complication of transcatheter aortic valve replacement (TAVR), which is typically performed in elderly patients. A leadless pacemaker (LP) may be a suitable option in this frail population, but the available scientific data concerning the efficacy and safety of leadless pacing after TAVR are sparse. The purpose of this analysis was to evaluate the efficacy and safety of LP implantation in patients with relevant bradycardias after TAVR, compared to other indications. Methods: Consecutive patients were retrospectively enrolled. Demographics, background heart diseases, interventional parameters, and follow-up data were collected. Results: A total of 257 consecutive patients who underwent LP implantation were included. In 26 patients, the device was implanted due to bradycardias after TAVR (TAVR group), whereas the remaining 231 patients were in the population without previous TAVR (non-TAVR group). The mean implantation duration (56 ± 22 minutes in the TAVR group vs 48 ± 20 minutes in the non-TAVR group; P = not significant [NS]) and the implantation success rate (100% in the TAVR group vs 98.7% in the non-TAVR group; P = NS) were similar in the 2 cohorts. No significant differences occurred in pacing parameters (sensing, impedance, and threshold, respectively) between the 2 groups, either at implantation or during follow-up. A total of 8 major periprocedural complications (3.1% of patients in total; 3.8% in the TAVR group vs 3.0% in the non-TAVR group; P = NS) occurred within 30 days, without significant difference between the 2 groups. Conclusions: LP implantation appears to be safe and effective in patients after TAVR, and therefore, this procedure is a suitable option for this often old and frail population. Résumé: Contexte: L’atteinte du système de conduction cardiaque est une complication courante du remplacement valvulaire aortique par cathéter (RVAC), une intervention habituellement pratiquée chez les patients âgés. Un stimulateur cardiaque sans sonde peut être une option convenable pour cette population fragile, mais les données scientifiques actuelles concernant l’efficacité et l’innocuité de la stimulation sans sonde après un RVAC sont fragmentaires. Cette analyse visait à évaluer l’efficacité et l’innocuité de l’implantation d’un stimulateur cardiaque sans sonde chez des patients atteints de bradycardies pertinentes après un RVAC, comparativement à d’autres indications. Méthodologie: Des patients consécutifs ont été recrutés de manière rétrospective. Les données démographiques, les maladies cardiaques sous-jacentes, les paramètres interventionnels et les données de suivi ont été colligés. Résultats: Un total de 257 patients consécutifs qui se sont fait implanter un stimulateur cardiaque sans sonde ont été inclus. Chez 26 patients, le dispositif a été implanté en raison d’une bradycardie après un RVAC (groupe RVAC), alors que les 231 autres patients formaient la population sans RVAC antérieur (groupe sans RVAC). La durée moyenne de l’intervention d’implantation (56 ± 22 minutes dans le groupe RVAC vs 48 ± 20 minutes dans le groupe sans RVAC; p = non significatif [NS]) et le taux de réussite de l’implantation (100 % dans le groupe RVAC vs 98,7 % dans le groupe sans RVAC; p = NS) étaient similaires dans les deux cohortes. Aucune différence significative n’a été observée dans les paramètres de stimulation (sensibilité, impédance et seuil, respectivement) entre les 2 groupes, que ce soit au moment de l’implantation ou pendant le suivi. Un total de 8 complications périopératoires majeures (3,1 % de l’ensemble des patients; 3,8 % dans le groupe RVAC vs 3,0 % dans le groupe sans RVAC; p = NS) sont survenues dans les 30 jours, sans différence notable entre les 2 groupes. Conclusions: L’implantation d’un stimulateur cardiaque sans sonde semble sûre et efficace après un RVAC; par conséquent, cette intervention représente une option convenable pour cette population souvent âgée et fragile.