CJC Open (May 2022)

The Physical Activity Levels and Sitting Time of Adults Living With Atrial Fibrillation: The CHAMPLAIN-AF Study

  • Kimberley L. Way, AEP, PhD,
  • David Birnie, MD, MBChB,
  • Christopher Blanchard, PhD,
  • George Wells, PhD,
  • Paul Dorian, MD, FRCPC, MSc,
  • Harald T. Jorstad, MD, PhD,
  • Ioana C. Daha, MD, PhD,
  • Neville Suskin, MD, MBChB, MSc,
  • Paul Oh, MD, FRCPC,
  • Ratika Parkash, MD, FRCPC, MSc,
  • Paul Poirier, MD, PhD,
  • Stephanie A. Prince, PhD,
  • Heather Tulloch, PhD,
  • Andrew L. Pipe, CM, MD,
  • Harleen Hans, RKin, MSc,
  • Janet Wilson,
  • Katelyn Comeau,
  • Sol Vidal-Almela, CEP, MSc,
  • Tasuku Terada, CEP, PhD,
  • Jennifer L. Reed, RKin, PhD

Journal volume & issue
Vol. 4, no. 5
pp. 449 – 465

Abstract

Read online

Background: The primary goal of this study was to determine the time spent completing moderate-to-vigorous intensity physical activity (MVPA) among adults with atrial fibrillation (AF). Secondary aims examined MVPA and sitting time (ST) by AF subtypes (ie, paroxysmal, persistent, long-standing persistent, and permanent) and associations between MVPA or ST and knowledge, task self-efficacy, and outcome expectations. Methods: An observational study was conducted in the Champlain region of Ontario, Canada. AF patients completed a survey to determine MVPA and ST using the Short-Form International Physical Activity Questionnaire. Results: A total of 619 patients (66% male; median age 65 years [95% CI 64-67 years]) completed the survey. Median MVPA and ST were 100 (60-120) min/wk and 6 (5-6) h/d; 56% of patients were not meeting the Canadian 24H Movement Guidelines. Most patients (54%) did not know/were unsure of the MVPA recommendations, yet 72% thought physical activity should be part of AF management. Positive correlations were found between higher MVPA levels and the following: (i) speaking to a healthcare professional about engaging in physical activity for managing AF (ρ = 0.108, P = 0.017); (ii) greater confidence regarding ability to perform physical activity and muscle-strengthening exercise (ρ = 0.421, P < 0.01); and (iii) patient agreement that AF would be better managed if they were active (ρ = 0.205, P < 0.01). Conclusions: Many AF patients do not meet the MVPA recommendations, which may be due to lack of physical activity knowledge. Exercise professionals may help educate patients on the benefits of physical activity, improve task-self efficacy, and integrate MVPA into patient lifestyles. Résumé: Introduction: Le principal objectif de la présente étude était de déterminer le temps consacré à faire de l’activité physique modérée à vigoureuse (APMV) chez les adultes atteints de fibrillation auriculaire (FA). Les objectifs secondaires visaient à examiner l’APMV et le temps en position assise (TA) selon les sous-types de FA (c.-à-d. paroxystique, persistante, persistante de longue durée et permanente) et les associations entre l’APMV ou le TA et les connaissances, le sentiment d’auto-efficacité et les attentes de résultats. Méthodes: Nous avons réalisé une étude observationnelle dans la région de Champlain, en Ontario, au Canada. Les patients atteints de FA ont rempli une enquête pour déterminer l’APMV et le TA à l’aide du questionnaire court International Physical Activity Questionnaire (IPAQ). Résultats: Un total de 619 patients (66 % d’hommes; âge médian de 65 ans [IC à 95 % 64-67 ans]) a rempli l’enquête. L’APMV et le TPA médians étaient de 100 (60-120) min/sem et de 6 (5-6) h/j; 56 % des patients ne répondaient pas aux Directives canadiennes en matière de mouvement sur 24 heures. La plupart des patients (54 %) ne connaissaient pas les recommandations d’APMV ou n’étaient pas certains de les connaître, mais 72 % pensaient que l’activité physique devrait faire partie de la prise en charge de la FA. Nous avons observé des corrélations positives entre les degrés plus élevés d’APMV et ce qui suit : (i) le fait de parler à un professionnel de la santé de la pratique de l’activité physique pour prendre en charge la FA (ρ = 0,108, P = 0,017); (ii) la confiance accrue quant à la capacité de faire de l’activité physique et les exercices de renforcement musculaire (ρ = 0,421, P < 0,01); (iii) l’accord du patient sur le fait que la pratique de l’activité physique contribuerait à une meilleure prise en charge de la FA (ρ = 0,205, P < 0,01). Conclusions: Plusieurs patients atteints de FA ne répondaient pas aux recommandations d’APMV, possiblement en raison du manque de connaissances concernant l’activité physique. Les professionnels de l’activité physique peuvent contribuer à l’éducation des patients afin de leur faire connaître les avantages de l’activité physique, améliorer leur auto-efficacité et intégrer l’APMV à leur mode de vie.