CJC Open (Dec 2021)

Gender Differences in the Role of Social Support for Hypertension Prevention in Canada: A Population-Based Cross-Sectional Study of the Canadian Longitudinal Study on Aging Cohort

  • Zeinab Hosseini, PhD,
  • Abdollah Safari, PhD,
  • Nadia A. Khan, MD, MSc,
  • Gerry Veenstra, PhD,
  • Annalijn I. Conklin, MPH, PhD

Journal volume & issue
Vol. 3, no. 12
pp. S62 – S70

Abstract

Read online

Background: The relationship between social support and hypertension is poorly understood in women and men. We investigated whether multiple measures of social support are linked to blood pressure levels differentially by gender. Methods: Cross-sectional study of 28,779 middle-age and older-age adults (45-85 years) in the baseline Canadian Longitudinal Study on Aging comprehensive cohort. Stratified multivariable regression models estimated the role and relative contribution of 4 types of support to blood pressure in women and men. Results: The highest levels of perceived availability of informational, tangible, emotional, and belonging support were significantly associated with the lowest mean level of systolic blood pressure (SBP) but not diastolic blood pressure, independent of known confounders and other support types. However, associations were small, and their directions were more consistent in women. The lowest levels of informational support, relative to the highest, were associated with higher odds of hypertension in women (odds ratio [OR] = 1.20 [95% confidence interval {CI}: 1.06, 1.36]), more so than in men (OR = 1.16 [95% CI: 1.03, 1.32]). The lowest levels of emotional support were similarly associated with the odds of hypertension (OR = 1.08 [95% CI: 1.00, 1.17] in women and OR = 1.08 [95% CI: 1.00, 1.15] in men), relative to the highest. Larger differences in mean SBP in women, compared with men, were seen for informational support (2.43 and 1.18 mm Hg, respectively) and emotional support (1.60 and 0.74 mm Hg, respectively). Findings were unaltered by sensitivity analyses. Conclusions: Informational and emotional support were inversely associated with SBP, more so in women than men. Further longitudinal investigation is warranted, as results suggest that specific supports may help prevent hypertension and lower cardiovascular risk, especially in women. Résumé: Contexte: La relation entre le soutien social et l’hypertension est mal comprise chez les femmes et les hommes. Nous avons tenté de déterminer si diverses mesures de soutien social sont liées aux valeurs de la pression artérielle différemment selon le sexe. Méthodologie: Étude transversale menée chez 28 779 adultes d’âge moyen ou plus avancé (45-85 ans) au sein de la cohorte globale initiale de l’Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement. Des modèles stratifiés de régression à variables multiples ont servi à estimer le rôle et la contribution relative de quatre types de soutien sur la pression artérielle chez les femmes et les hommes. Résultats: Les niveaux les plus élevés de disponibilité perçue d’un soutien informationnel, tangible, émotionnel et axé sur l’appartenance étaient associés de façon significative à la plus faible valeur moyenne de la pression artérielle systolique (PAS), mais pas de la pression artérielle diastolique (PAD), indépendamment des facteurs de confusion connus et des autres types de soutien. Toutefois, les associations étaient faibles et leurs tendances étaient plus constantes chez les femmes. Les plus faibles niveaux de soutien informationnel, par rapport aux plus élevés, étaient associés à un plus grand risque d’hypertension chez les femmes (rapport de cotes [RC] = 1,20 [intervalle de confiance [IC] à 95 % : 1,06, 1,36]), et ce plus que chez les hommes (RC = 1,16 [IC à 95 % : 1,03, 1,32]). De même, les plus faibles niveaux de soutien émotionnel étaient associés au risque d’hypertension (RC = 1,08 [IC à 95 % : 1,00, 1,17] chez les femmes et RC = 1,08 [IC à 95 % : 1,00, 1,15] chez les hommes), par rapport aux plus élevés. Des différences plus importantes des valeurs moyennes de la PAS ont été observées chez les femmes comparativement aux hommes relativement au soutien informationnel (2,43 et 1,18 mm Hg, respectivement) et au soutien émotionnel (1,60 et 0,74 mm Hg, respectivement). Les résultats n’ont pas été modifiés par les analyses de sensibilité. Conclusions: Le soutien informationnel et le soutien émotionnel étaient inversement associés aux valeurs de la PAS, et ce plus chez les femmes que chez les hommes. Une investigation longitudinale est nécessaire pour approfondir le sujet, car les résultats donnent à penser que certaines formes de soutien peuvent contribuer à prévenir l’hypertension et à réduire le risque cardiovasculaire, en particulier chez les femmes.