Canadian Journal for the Scholarship of Teaching and Learning (Aug 2019)

Characterizing SoTL Across Canada

  • Genevieve Newton,
  • Janice Miller-Young,
  • Monica Sanago

DOI
https://doi.org/10.5206/cjsotl-rcacea.2019.2.8174
Journal volume & issue
Vol. 10, no. 2

Abstract

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SoTL Canada recently conducted a survey to gain insight into the Scholarship of Teaching and Learning (SoTL) activities of faculty and staff at institutions of higher education across Canada. Questions were guided by several principles, including: (a) identifying who is doing SoTL (such as personal, institutional, geographical and professional characteristics); (b) characterizing how SoTL is being conducted, supported, and disseminated (such as collaborations with peers and students, the number of active projects), and (c) differentiating the levels at which SoTL activities are occurring and funded. While we likely did not fully capture the work being done, our inquiry nonetheless provides important data related to the current nature and scope of SoTL in Canada. We noted that the people doing SoTL show a wide diversity of characteristics including appointments and disciplinary affiliations although a majority of respondents were female, and that collaborations with both colleagues and students were commonplace. SoTL continues to be conducted primarily at the classroom level, and approximately 65% of respondents have received funding, mostly from the institutional level. We also found an increased amount of activity compared to the last Canadian survey conducted in 2012, in particular by staff from Centres for Teaching and Learning. Survey participants reported discussing their SoTL findings with their colleagues more often than with their students. A number of areas of future research are identified.L’ACEA Canada a récemment mené une enquête pour mieux comprendre les activités de l’Avancement des connaissances en enseignement et en apprentissage (ACEA) des professeurs et du personnel dans les établissements d’enseignement supérieur d’un bout à l’autre du Canada. Les questions ont été régies par plusieurs principes y compris : (a) identifier qui pratique l’ACEA (caractéristiques personnelles, institutionnelles, géographiques et professionnelles), (b) caractériser comment l’ACEA est mené, soutenu et diffusé (collaborations avec les pairs et les étudiants, nombre de projets actifs), et (c) différencier les niveaux auxquels les activités de l’ACEA ont lieu et sont subventionnées. Bien que nous n’ayons probablement pas réussi à saisir entièrement le travail qui se fait, notre enquête a néanmoins fourni des données importantes liées à la nature et à la portée actuelles de l’ACEA au Canada. Nous avons remarqué que les personnes actives en ACEA affichent une vaste diversité de caractéristiques, y compris des nominations et des affiliations disciplinaires, que la majorité des répondants étaient des femmes et que les collaborations avec les collègues et les étudiants étaient communes. L’ACEA continue à se pratiquer principalement au niveau de la salle de classe et environ 65 % des répondants ont obtenu un certain financement, surtout au niveau institutionnel. Nous avons également trouvé qu’il existait un montant accru d’activités comparé à la dernière enquête canadienne menée en 2012, en particulier de la part du personnel des centres d’enseignement et d’apprentissage. Les participants à l’enquête ont rapporté avoir discuté leurs résultats en matière d’ACEA avec leurs collègues plus souvent qu’avec leurs étudiants. Un certain nombre de domaines pour des recherches futures sont identifiés.

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