Ziglôbitha (Jun 2022)

Gestion éco-verte des déchets : opportunité d’assurance qualité et d’autofinancement durable pour une bonne gouvernance de l’environnement professionnel (étude de cas)

  • ONEMA OMAKINDA André, KAFINGA LUZOLO Emery, MBASANI MANSI Joseph, BOPE KWETE Barthelemy, PEMBI PEMBI Francy & MOSIBONO EYUL’ANKI Dieudonné

Journal volume & issue
Vol. 1, no. 4
pp. 227 – 240

Abstract

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Résumé : La gestion de l’environnement, particulièrement celle de déchets pose des épineux problèmes non seulement d’organisation mais aussi et surtout de financement. Les institutions d’enseignement supérieur et universitaire ne sont pas épargnées de ces contraintes, transformables en opportunité par la pratique de l’économie verte. Pour Patricia Crifo, Renaud Crassous-Doerfler, Manuel Flam (2010) [1], le concept d’économie verte peut apparaître a priori comme flou, au périmètre mal défini. Il se décline en fait selon une double dimension: une dimension réglementaire d’une part, plutôt négative car elle met en exergue la contrainte environnementale et les risques qu’elle peut faire peser sur l’activité économique et la croissance; une dimension économique d’autre part, mettant en avant les opportunités de profit et d’investissement des nouvelles éco-activités. Le terme même de croissance verte suggère une réponse claire: la contrainte devient opportunité. Pour [PNUE (2010)[2], l’Économie verte est celle qui entraîne une amélioration du bien-être humain et de l'équité sociale, tout en réduisant de manière significative les risques environnementaux et la pénurie de ressources Ainsi, après nos investigations, les déchets générés par L’ISTM-KIN. Peuvent produire plus de 90 000 $, soit nonante milles dollars américains lorsque la volonté politique de l’institution est engagée de manière significative en exploitant ses capacités institutionnelles intrinsèques ses différents services et son personnel hautement qualifié. Convient-il de souligner que les dépenses réelles que l’ISTM /KINSHASA engage chaque année (2017-2018) s’élève à plus de 50 000 $ pour la lutte antiérosive et la gestion classique des déchets selon la délégation syndicale ;

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