CJC Open (Feb 2022)

The Canadian Women’s Heart Health Alliance Atlas on the Epidemiology, Diagnosis, and Management of Cardiovascular Disease in Women — Chapter 4: Sex- and Gender-Unique Disparities: CVD Across the Lifespan of a Woman

  • Sharon L. Mulvagh, MD, FRCPC, FACC, FASE, FAHA,
  • Kerri-Anne Mullen, PhD, MSc,
  • Kara A. Nerenberg, MD, MSc,
  • Amy A. Kirkham, PhD, P.Kin, ATTH,
  • Courtney R. Green, PhD, MSc,
  • Abida R. Dhukai, NP(Adult), MN, PhD(c),
  • Jasmine Grewal, MD, FRCPC,
  • Marsha Hardy, MSW, RSW,
  • Paula J. Harvey, BMBS, PhD, FRACP,
  • Sofia B. Ahmed, MD, MMSc, FRCPC,
  • Donna Hart, BA, RSW,
  • Anna L.E. Levinsson, PhD,
  • Monica Parry, MEd, MSc, NP-Adult, PhD, CCN(C),
  • Heather J.A. Foulds, PhD,
  • Christine Pacheco, MD, MSc, FRCPC,
  • Sandra M. Dumanski, MD, FRCPC,
  • Graeme Smith, MD, PhD, FRCSC,
  • Colleen M. Norris, PhD, MSc, BScN, FAHA, FCAHS

Journal volume & issue
Vol. 4, no. 2
pp. 115 – 132

Abstract

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Women have unique sex- and gender-related risk factors for cardiovascular disease (CVD) that can present or evolve over their lifespan. Pregnancy-associated conditions, polycystic ovarian syndrome, and menopause can increase a woman’s risk of CVD. Women are at greater risk for autoimmune rheumatic disorders, which play a role in the predisposition and pathogenesis of CVD. The influence of traditional CVD risk factors (eg, smoking, hypertension, diabetes, obesity, physical inactivity, depression, anxiety, and family history) is greater in women than men. Finally, there are sex differences in the response to treatments for CVD risk and comorbid disease processes. In this Atlas chapter we review sex- and gender-unique CVD risk factors that can occur across a woman’s lifespan, with the aim to reduce knowledge gaps and guide the development of optimal strategies for awareness and treatment. Résumé: Les femmes présentent des facteurs de risque de maladies cardiovasculaires (MCV) uniques, liés au sexe et au genre, qui peuvent se manifester ou évoluer tout au long de leur vie. Les troubles médicaux associés à la grossesse, le syndrome des ovaires polykystiques et la ménopause peuvent augmenter le risque de MCV chez une femme. Les femmes sont plus exposées aux troubles rhumatologiques auto-immuns, qui jouent un rôle dans la prédisposition et dans la pathogenèse des MCV. L’influence des facteurs de risque traditionnels pour les MCV (par exemple, le tabagisme, l’hypertension, le diabète, l’obésité, la sédentarité, la dépression, l’anxiété et les antécédents familiaux) est plus importante chez les femmes que chez les hommes. Enfin, il existe des différences entre les sexes dans la réponse aux traitements du risque de MCV et des processus pathologiques comorbides. Dans ce chapitre de l’Atlas, nous passons en revue les facteurs de risque de MCV propres au sexe et au genre qui peuvent survenir tout au long de la vie d’une femme, dans le but de réduire les lacunes dans les connaissances et d’orienter l’élaboration de stratégies optimales de sensibilisation et de traitement.