CONTRIBUTION A L’ETUDE DU BOURGEONNEMENT AXILLAIRE DE L’Actinidia chinensis PL.
C. Chaouia,
S. A. Snoussi,
F. Idi,
F. Benrebiha,
M. S. Dulhussein,
H. Ghezali
Affiliations
C. Chaouia
de Physiologie et d’Amélioration des plantes ; Département d’Agronomie ; Faculté des Sciences Agronomiques, Vétérinaires et Biologiques. Université SAAD DAHLAB – BLIDA
S. A. Snoussi
de Physiologie et d’Amélioration des plantes ; Département d’Agronomie ; Faculté des Sciences Agronomiques, Vétérinaires et Biologiques. Université SAAD DAHLAB – BLIDA
F. Idi
Laboratoire de Biologie Végétale. Département de Biologie. Faculté des Sciences Agronomiques, Vétérinaires et Biologiques. Université SAAD DAHLAB – BLIDA
F. Benrebiha
de Physiologie et d’Amélioration des plantes ; Département d’Agronomie ; Faculté des Sciences Agronomiques, Vétérinaires et Biologiques. Université SAAD DAHLAB – BLIDA
M. S. Dulhussein
Laboratoire de Génétique. Faculté des Sciences Médicales. Université SAAD DAHLAB– BLIDA
H. Ghezali
de Physiologie et d’Amélioration des plantes ; Département d’Agronomie ; Faculté des Sciences Agronomiques, Vétérinaires et Biologiques. Université SAAD DAHLAB – BLIDA
L’Actinidia chinensis communément appelé kiwi est un arbuste dioïque appartenant à la famille des Actinidiacées. Il commença à faire l’objet d’une culture agricole à partir de 1940 en Nouvelle Zélande, et ce n’est que dans les années 60 qu’il a été cultivé en Europe (1960) et aux États-Unis en 1974. L’espèce Actinidia s’est bien acclimatée en Algérie depuis son introduction en 1984 (Chaouia, 1998). La propagation du kiwi par voie sexuée ou asexuée pose d’énormes problèmes. Afin de cloner à grande échelle des plants présentant des qualités organoleptiques et biochimiques intéressantes nous nous sommes orienté vers une technique de régénération par bourgeonnement axillaire.