Canadian Journal for the Scholarship of Teaching and Learning (Mar 2022)

Does Self-directed Learning Readiness Predict Undergraduate Students’ Instructional Preferences?

  • Brandon J. Justus,
  • Shayna A. Rusticus,
  • Brittney L. P. Stobbe

DOI
https://doi.org/10.5206/cjsotlrcacea.2022.1.10879
Journal volume & issue
Vol. 13, no. 1
pp. 1 – 14

Abstract

Read online

Self-directed learning is a process by which students take the lead, with or without the help of others, in determining their learning needs and managing their learning strategies and outcomes. Relatedly, self-directed learning readiness (SDLR) looks at the attitudes, abilities, and personality characteristics necessary for self-directed learning. In study one, we shortened, and slightly modified, the SDLR scale (Fisher et al., 2001) to make it more applicable for broader use among undergraduate university students and to examine its factor structure and reliability. In a sample of 194 students, the three-factor structure of this scale (self-management, desire to learn, and self-control) was confirmed with acceptable reliability. In study two, we examined whether the modified SDLR subscales predicted a preference for a teacher-directed or student-directed class format in a sample of 256 undergraduate students. We conducted a series of four multiple linear regressions to examine whether the three dimensions of SDLR were predictive of four classroom preference styles (knowledge construction, teacher direction, cooperative learning, and passive learning). While three of these analyses were statistically significant with small to medium-effect sizes, the results minimally supported our hypotheses. We discuss whether these results indicate a lack of relationship between SDLR and teaching style or whether these results may be characteristic of the sample. L’apprentissage auto-dirigé est un processus par lequel les étudiants et les étudiantes prennent l’initiative, avec ou sans l’aide d’autrui, pour déterminer leurs besoins en matière d’apprentissage et pour gérer leurs stratégies d’apprentissage et leurs résultats. Sur le même sujet, l’aptitude à l’apprentissage auto-dirigé s’intéresse aux attitudes, aux aptitudes et aux caractéristiques personnelles nécessaires pour l’apprentissage auto-dirigé. Dans la première étude, nous avons raccourci et légèrement modifié l’échelle de l’aptitude à l’apprentissage auto-dirigé (Fisher et al, 2001) afin de la rendre plus applicable à une utilisation plus large parmi les étudiants et les étudiantes du premier cycle universitaire et pour examiner sa structure de facteurs et sa fiabilité. Dans un échantillon de 194 étudiants et étudiantes, la structure à trois facteurs de cette échelle (auto-gestion, désir d’apprendre et maîtrise de soi) a été confirmée avec une fiabilité acceptable. Dans la seconde étude, nous avons examiné si les sous-échelles de l’aptitude à l’apprentissage auto-dirigé permettaient de prédire une préférence pour un format de cours dirigé par un professeur ou une professeure ou pour un format de cours auto-dirigé, dans un échantillon de 256 étudiants et étudiantes du premier cycle. Nous avons mené une série de quatre régressions linéaires multiples afin d’examiner si les trois dimensions de l’aptitude à l’apprentissage auto-dirigé permettaient de prédire les quatre styles de préférences de salle de classe (construction des connaissances, direction par l’enseignant ou l’enseignante, apprentissage en coopération et apprentissage passif). Alors que trois de ces analyses ont été statistiquement significatives dans les cas d’effets petits ou moyens, les résultats soutenaient de façon minimale nos hypothèses. Nous discutons la question de savoir si ces résultats indiquent une absence de rapport entre l’aptitude à l’apprentissage auto-dirigé et le style d’enseignement ou si ces résultats pourraient être caractéristiques de l’échantillon.

Keywords