Risk Factors for Hospital Readmission Post-Transcatheter Aortic Valve Implantation in the Contemporary Era: A Systematic Review

Abstract

Background: Despite transcatheter aortic valve implantation (TAVI) becoming a widely accepted therapeutic option for the management of aortic stenosis, post-procedure readmission rates remain high. Rehospitalization is associated with negative patient outcomes, as well as increased healthcare costs, and has therefore been identified as an important target for quality improvement. Strategies to reduce the post-TAVI readmission rate are needed but require the identification of patients at high risk for rehospitalization. Our systematic review aims to identify predictors of post-procedure readmission in patients eligible for TAVI. Methods: We conducted a comprehensive search of the MEDLINE, Embase, and Cochrane Central Register of Controlled Trials (CENTRAL) databases for the time period from 2015 to the present for articles evaluating risk factors for rehospitalization post-TAVI with a follow-up period of at least 30 days in adults age ≥ 70 years with aortic stenosis. The quality of included studies was evaluated using the Newcastle-Ottawa Scale. We present the results as a qualitative narrative review. Results: We identified 49 studies involving 828,528 patients. Post-TAVI readmission is frequent, and rates vary (14.9% to 54.3% at 1 year). The most-frequent predictors identified for both 30-day and 1-year post-TAVI readmission are atrial fibrillation, lung disease, renal disease, diabetes mellitus, in-hospital life-threatening bleeding, and non-femoral access. Conclusions: This systematic review identifies the most-common predictors for 30-day and 1-year readmission post-TAVI, including comorbidities and potentially modifiable procedural approaches and complications. These predictors can be used to identify patients at high-risk for readmission who are most likely to benefit from increased support and follow-up post-TAVI. Résumé: Contexte: Bien que l’implantation valvulaire aortique par cathéter (IVAC) soit maintenant une option thérapeutique largement acceptée pour la prise en charge de la sténose aortique, les taux de réadmission des patients après cette intervention demeurent élevés. La réhospitalisation est associée à des résultats de santé défavorables pour les patients ainsi qu’à des coûts de soins de santé plus élevés, ce qui en fait une cible importante pour l’amélioration de la qualité des soins. Des stratégies de réduction des taux de réadmission après l’IVAC sont nécessaires, mais elles exigent de repérer les patients qui présentent des risques de réhospitalisation plus élevés. Notre revue systématique vise à cerner les facteurs prédictifs de réhospitalisation après l’intervention chez les patients admissibles à une IVAC. Méthodologie: Nous avons effectué une recherche exhaustive dans les bases de données MEDLINE, Embase et Cochrane Central Register of Controlled Trials (CENTRAL) pour trouver les articles publiés entre 2015 et aujourd’hui qui rapportent les facteurs de risque de réhospitalisation suite à une IVAC chez les adultes âgés de 70 ans et plus atteints de sténose aortique, avec une période de suivi d’au moins 30 jours. La qualité des études retenues a été évaluée à l’aide de l’échelle Newscastle-Ottawa. Les résultats sont présentés sous forme d’une revue narrative qualitative. Résultats: Nous avons retenu 49 études, réalisées auprès de 828 528 patients. La réhospitalisation après l’IVAC était fréquente, et les taux étaient variables (de 14,9 % à 54,3 % après un an). Les facteurs prédictifs de réhospitalisation les plus fréquents, déterminés 30 jours et un an après l’IVAC, étaient la fibrillation auriculaire, la maladie pulmonaire, la maladie rénale, le diabète, l’hémorragie menaçant le pronostic vital lors du séjour à l’hôpital, et l’approche par une voie non fémorale. Conclusions: La présente revue systématique nous a permis de caractériser les facteurs prédictifs les plus fréquents de réhospitalisation, 30 jours et un an après une IVAC, dont certaines affections concomitantes et certains facteurs potentiellement modifiables liés aux approches d’intervention et aux complications. Ces facteurs pourraient permettre de cibler les patients à risque élevé de réhospitalisation, qui seraient les plus susceptibles de bénéficier d’un soutien et d’un suivi accrus après une IVAC.